avec le temps, les jolies rimes et les jolies filles se détournent de moi que puis-je espérer, encore, un ou deux hivers? peut-être trois. écrire de beaux vers pour un éditeur? c'est celà. voilà ce que je compte faire des heures qu'on me donnera. à moins...

je t'ai toujours aimée d'un désir indicible confusément voilé du masque de l'amitié j'ai d'emblée accepté cet amour : impossible car de mon propre frère tu es la fiancée... et pourtant , si souvent mes rêves t'ont dénudé et mon trouble m'entraîne dans...

dans l'épaisse forêt où les feuilles et les branches les lianes et les troncs taillis touffus et denses s'agglutinent et s'entassent; où ne règnent et ne croissent qu'arbres et végétation.... un jour , pénètreront un bûcheron et sa hache.... les branches...

dans la chaleur d'été des douces nuits étoilées toujours tu t'endormais la première sur le ventre, lascive à mes côtés. je laissais très souvent bien égoïstement une chandelle allumée; et de longues heures durant, tu sais, je t'observais... tes formes...

c'est l'espoir de l'enfant, garçon ou jeune fille dont les coeurs plein d'allant s'impatientent d'envie .................... (l'amour) c'est au seuil des ans une lueur qui scintille apaisant les tourments des corps et cheveux gris .............. (l'amour)...

l'époque dont je parle était fertile en drames et l'homme du futile se faisait un programme sous les yeux médusés d'Hakkinen et Coulthard Schumacher devançait Schumacher sur Williams l'amérique divisée comme au temps du vietnam la finale opposait Williams...

je donnerais beaucoup pour un regard de vous jusqu'à plusieurs années pour un de vos baiser et sans doute ma vie pour partager vos nuits.